Le21 janvier 2013, Philippe Deman, passionné d'aviation et membre de l'association " Belgians in R.A.F. and S.A.A.F. 1940 - 1945 ", m'avait envoyé un lien.Celui - ci menait au site de TVCOM, chaîne d'information télévisée de la province du Brabant wallon.Le lien en question concernait des témoins de la Seconde Guerre mondiale, vivant dans le Brabant wallon.
2018peut vraiment être déclaré Song Qian « tyrans écran » de l'année, de nombreux utilisateurs sont des talents chanson Qian du dumping, mais je crois que beaucoup de petits amis appelé « talent loyal » est en fait « commence Yen valeur », la valeur de la chanson Qian Yan a toujours été relish de net-citoyens, et récemment, Song Qian l'exposition d'une nouvelle série de la
Laguerre des boutons. Publié le 12-03-11 à 00h00 La mode des pantalons taille basse est définitivement révolue. Mais ils étaient parfois plus faciles à boutonner que leur successeur à taille haute. Et ce n’est pas Rihanna qui va dire le contraire. S’était-elle déboutonnée dans la voiture qu’elle venait de quitter ? Toujours est-il qu’elle a rencontré
cash. Le mythe voulait que "le Chant des partisans" soit né dans les maquis. Mais la plus célèbre chanson française de la Seconde guerre a été composée à Londres par une Russe fière des exploits de partisans soviétiques, rappelle une exposition à Paris. La guitare d'Anna Marly, aristocrate née Anna Betoulinsky en 1917 à Pétrograd en pleine révolution d'Octobre et exilée en France peu après et le manuscrit original sont des pièces phares d'une exposition au musée de l'Ordre de la Libération dédiée jusqu'au 5 janvier à la création de cet hymne de la Résistance. Compositrice, guitariste, danseuse et chanteuse dans les cabarets parisiens, elle prend le nom de scène Marly. La guerre la contraint à un nouvel exil, en Angleterre, où elle tourne dans les cercles russophones résistants et s'engage comme cantinière dans les Forces françaises libres. C'est en 1942 à Londres, après avoir lu le récit de la bataille de Smolensk qui a marqué l'arrêt de l'offensive allemande sur le front de l'Est en 1941, qu'elle écrit la musique et les paroles en russe de la "La Marche des partisans" qu'elle interprétera elle-même et qui deviendra "Le Chant des partisans". Marly, Kessel, Druon En 1943, Joseph Kessel, fils de Juifs de culture russe, aviateur et romancier et son neveu Maurice Druon écrivent les paroles en français, poussés par le résistant Emmanuel d'Astier de la Vigerie. "Un peuple qui n'a pas de chanson est un peuple qui ne peut pas se battre", disait Joseph Kessel qui a combattu pendant les deux guerres. Emmanuel d'Astier de la Vigerie qui avait pour sa part écrit les paroles pour une autre chanson d'Anna Marly, la "Complainte des partisans", réinterprété en 1969 en anglais par Leonard Cohen, voulait que les auteurs gardent l'anonymat. "Marly, Kessel, Druon qui ont écrit cela à Londres autour du thé et des sandwichs, cela n'apporterait pas beaucoup de crédibilité au chant des maquis. Il faut qu'on s'imagine qu'il surgit de la France occupée et appartient à tous les maquisards", souligne Lionel Dardenne, commissaire de l'exposition. En 1945 les paroles sont imprimées avec leurs noms, mais cette "fausse image d'Épinal" persiste et les auteurs n'ont jamais été vraiment mis en avant, ajoute-t-il. Adopté par les Viet Minh Le Chant des partisans a rythmé les émissions de la France libre sur la BBC de Londres et le succès de ce chant de lutte et de résistance ne s'est jamais démenti. Depuis 1943, il a été repris, imité et réarrangé de nombreuses fois par Joséphine Baker, Yves Montand, les choeurs de l'Armée rouge, Johnny Hallyday, Claude Nougaro, Zebda, Camélia Jordana ou encore Noir Désir... Aujourd'hui le Chant des partisans est joué lors de cérémonies officielles "sans que les gens sachent d'où il vient", souligne le commissaire. Accompagnant les cérémonies au Mont Valérien, haut lieu de la mémoire nationale ou en hommage des victimes du terrorisme, "il est chanté de façon presque funèbre alors qu'au contraire c'est un chant de marche et de mobilisation", ajoute-t-il. Ironiquement, le Chant des partisans a été adopté par le Viet Minh, l'armée pour l'indépendance du Viet Nam qui luttait contre la domination française. Aujourd'hui, en France, ce sont les "gilets jaunes" qui se réapproprient le célèbre Chant avec des paroles transformées en "Macron entends-tu".
Me voilà replongée, tout à coup, dans mes souvenirs d’école.. Ces souvenirs qui n’existent plus aujourd’hui et qui ressurgissent de ma mémoire. Eh oui, j’avais une touche et une belle ardoise "qui casse" bordée de bois, j’en avais une autre en carton que j’aimais beaucoup moins. Et je crachais dessus quand mon éponge n’était pas assez humide. Je me souviens du bruit de la touche qui grinçait un peu... et de l’odeur de l’éponge mal rincée.... Et de cette impression bizarre quand je la tenais dans mes doigts et que je la sortais de sa petite boîte ronde à fleurs. J’avais une belle mallette que ma marraine m’avait offerte, une mallette en cuir bien trop grande pour moi.. mais que je devais garder des années... Fallait juste que je grandisse... Mais avant je me dois de parler de l’école gardienne et de cette fois où j’avais oublié de mettre ma culotte pour aller à l’école, j’avais bien sûr été l’objet de moqueries de mes petits camarades. Mon plus grand souvenir de l’école gardienne, ce fut les gommettes de toutes les couleurs... et aussi des bonhommes que l’on faisait avec des marrons et des bois d’allumettes.... Et la plasticine... bon dieu qu’est ce que j’ai pu faire des serpents... des chiens aussi mais moins bien réussis.... Comme je n’avais pas de médaille, j’attachais un beau bouton doré à un fil et je le mettais à mon cou... Je me souviens aussi du nom de mon institutrice " Laviolette".. joli nom hein ? Elle était douce et gentille. Elle fut remplacée plus tard par Madame Leboutte. De l’autre côté du mur, ma sœur Gisèle était chez les grandes. Il parait qu’on l’appelait souvent à la rescousse quand la petite sœur faisait la têtue... Toute une ambiance l’école du Pont de Scay.. la petite cour avec le marronnier photooù je m’écorchais les bras et les genoux sur les graviers, les garçons qui attaquaient les filles alors qu’ils ne pouvaient pas dépasser une limite bien définie par l’institutrice... Ces rondes que nous faisions entre filles "Un fermier dans son pré.... un fermier dans son pré ohé ohé...." ou "Ne regardez pas le renard qui passe, regardez plutôt quand il est passé"... Je me souviens aussi que je chantais, du moins, j’essayais de chanter avec une autre petite amie les chansons du moment... " Il y a toujours un coin qui me rappelle " d’Eddy Mitchell... Rosette c’était le prénom de ma petite amie avait une superbe voix... moi j’essayais de l’imiter. Mes amies s’appelaient Evelyne Servais, Bernadette Hanique, Marie-Alice Delvenne, Colette Hans et Ginette Defays qui était née le même jour que moi exactement... et j’avais deux petits galants !! qui n’étaient pas qu’à moi seule d’ailleurs.... Parfois même pas du tout.... Un qui s’appelait Serge Leduc décédé depuis longtemps et Christian Dhont... le troisième, André Roumans, m’aimait bien mais moi je n’avais d’yeux que pour Serge. Tous les jours, je partais à l’école avec mes sœurs, j’étais affublée d’un grand caban blanc aussi trop grand pour moi et quand je tournais la tête, ma bonnette restait en place.... Les institutrices Nous avions deux institutrices, l’une qui s’appelait Liliane Vilenne et l’autre Arlette Vosse, celles ci donnaient cours du haut de l’estrade en bois qui longeait le tableau noir. A gauche, il y avait un magnifique bureau... mais gare à celui ou celle qui faisait le vilain... sinon il devait aller dans le "trou du bureau" au pied de l’institutrice... A l’époque les bancs étaient toujours en bois, nous étions assises deux par deux. A part André Roumans qui était assis tout seul. Il arrivait à l’institutrice de lui taper sur les doigts avec une règle quand il faisait des pâtés sur ses feuilles. Madame Vilenne n’avait pas son pareil pour organiser de jolies fêtes scolaires. Nous nous rendions à pieds dans la petite salle, un vieux piano noir restait là en permanence, le mari de madame Vilenne avait bien du mal parfois à le réaccorder. Monter sur scène était pour moi très impressionnant. Quelle ambiance quand la classe se transformait en " cinéma ". On occultait les fenêtres, on mettait un écran et on nous passait un vieux film avec Mickey qui se faisait dévorer par un ogre. Je me souviens de l’énorme luette de celui-ci... je n’aurais pas voulu être à la place de Mickey pour tout l’or du monde.... Dans toutes les classes de l’époque fin 1950 .., il y avait certainement une buse empaillée comme dans la mienne... elle m’impressionnait je dois dire. Un beau poêle en pierre trônait au milieu de la classe, c’est sur ce poêle que nous faisions "péter" nos pommes de terre en hiver, une bonne odeur se répandait dans la classe à l’approche du dîner. Je me souviens des prismes et des cônes en zinc que l’institutrice sortait au bout d’une lune pour nous donner cours et des grandes bouteilles d’encre pour remplir nos encriers... à l’époque, pas de tipex... mais une bonne gomme !!! fallait pas exagérer car on trouait sa feuille... je rentrais souvent de l’école avec les doigts tachés d’encre. Le dernier jour d’école était mon préféré. Ce jour là , on faisait venir des pâtisseries des deux boulangeries du coin, des bons cornets à la crème. On dressait les tables dehors et on buvait de la grenadine... ce fut la dernière fois où j’ai mis les pieds dans la cour... et pourtant bien souvent, je me dis que j’aimerais y retourner.... Ça fait plus de 38 ans maintenant que je n’ai plus entendu tinter la cloche.
Les batailles rangées entre les gamins de Longeverne et de Velrans, au centre du roman de Louis Pergaud publié il y a près d'un siècle, appartiennent bel et bien au passé. Les Lebrac, Tigibus ou Camus d'aujourd'hui ne préparent plus aucun guet-apens dans les sous-bois pour priver leurs ennemis du village d'en face de leurs culottes courtes. Et pour cause de nos jours, avant même de passer à l'acte, ces chenapans seraient déjà en garde à vue sur plainte des parents. Voire barricadés dans des centres fermés pour récidivistes. La dénonciation de cette criminalisation rampante de l'enfance dans nos sociétés modernes était au centre du livre d'enquête et de réflexions écrit par Bertrand Rothé il y a quelques années, à l'époque où Sarkozy se faisait fort d'abaisser la majorité pénale. Son adaptation à la télévision amoindrit largement le propos. Le film se contente, dans un parallèle incertain, d'une jolie évocation de l'enfance d'aujourd'hui à Landresse, le village du Doubs qui avait inspiré Louis Pergaud au début du XX siècle. Les enfants y estiment toujours que la pêche, c'est mieux que l'école » et certains bâtissent encore quelques cabanes dans les bois. Mais ces gamins sages et choyés par leurs parents avouent candidement leurs bêtises de gosse devant la caméra en présence des adultes attendris. Et cette gentille chronique rurale, qui ne manque certes pas de charme, n'offre malheureusement aucun regard sur la machine à aseptiser nos suite après la publicité Lundi 29 août à 22h25 sur Arte. Documentaire français de Frédéric Compain 2015. 1h20. Disponible en replay sur Arte+7
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